Lundi 25 juin 2007 à 22:35

Soyons sobres dans le titre... Après tout, ça va certainement être un article d'une longueur respectable.
Hellfest donc, summer open air. Ou plutôt summer open boue. Oui, la boue qui a recouvert le fest, le camping, nos chaussures, nos vêtements... Mais commençons par le début.

Primo, le Hellfest, qu'est-ce donc ? Littéralement le festival de l'enfer, techniquement trois jours de concerts, avec des groupes de metal plus ou moins extrême. Un slogan vu à plusieurs reprises :
 "Extrem Music for Extrem People".
Mais non, les métalleux sont des gens comme les autres. Sont juste habillés en noir.

Bon, je vais peut-être réussir à commencer mon épique récit.


Jeudi 21 Juin

RDV gare St Lazare avec Quentin, Edouard et Raphaël. Les deux premiers étant des camarades de classe, le troisième un métalleux pris en covoiturage via le forum du fest.
Train pour un village paumé où habite les parents de Quentin, pour aller chercher la voiture, tarot en attendant ladite voiture. Passage au Leclerc pour prendre le nécessaire au trajet : tortilla, cacahouètes, bières, softs... APERO, APERO, APEROOOOOO comme dirait l'autre.
Bref, nous voilà partis, direction Clisson, à 40 km de Nantes. Trajet sans histoire d'environ 4h30, on trouve le parking, on fait la queue pour le camping, sous la pluie encore légère. Et là, argh. De la boue. Pas grave, pataugeons joyeusement, en rejoignant Guillaume, une connaissance que je devais retrouver sur le fest. Il nous mène à sa tente, et on plante les nôtres à côté, le tout le plus rapidement possible afin d'éviter la prochaine averse. Mission accomplie, voilà qu'Edouard et Quentin (qui conduisait) repartent sur Nantes pour rejoindre un ami de Quentin et y passer la fête de la musique.
Donc, soirée passée à faire connaissance avec les voisins à grand coups de cris gutturaux que je ne reproduirais pas ici, au cas où des âmes sensibles passeraient sur ce blog. Des rencontres drôles, comme les deux filles qui tombaient dans la boue tous les deux pas tellement elles étaient rondes... Bonne ambiance, si on oublie la boue et les averses.



Vendredi 22 Juin

Matinée grise et boueuse, on commence à s'habituer, résignés à patauger. On va attendre devant les portes du fest, sensées ouvrir à 13h. Attente sous les averses, avec au final deux heures de retard. On apprendra plus tard que le générateur électrique de la scène principal (Main Stage) a pris feu à cause des intempéries, provoquant le retard. Retard comblé en faisant sauter trois groupes quid evaient passer au Main Stage, dont Lamb of God.
On commence donc les concerts un peu chaotiquement, en errant de scène en scène, avec Lyzanxia et Imply in All, les horaires n'étant pas respectées.
ça fini par démarrer au Main Stage, avec Chimaira... Et ça démarre fort. Je trouvais ça bourrin en album, mais du coup, ça donne bien en live, beaucoup d'énergie, un groupe visiblement content d'être sur scène...  Fuck your Power Trip ! Bon set, les vrais concerts commencent enfin, ouf.
Mais du coup, l'attente, la frustration, la boue, ça fatigue, et ça donne faim. Donc retour au camping, où je trouve de quoi me faire des sandwichs monstrueux, grâce à Edouard et Quentin, revenus entre temps de Nantes en ayant fait les courses, et avec un ami de Nantes, Pierre.
On y retourne pour Machine Head, un des groupes que je voulais vraiment voir. Impressionant... Lorsque Rob Flynn (le chanteur) arrive sur scène, il dégage une force, un charisme extraordinaire. La première image à laquelle j'ai pensé en le voyant est un char d'assaut, ni plus, ni moins.



Pas mal de chansons du dernier album (que je ne connaissais donc pas), mais aussi des inévitables comme Old.> Je profite d'être en forme pour aller dans les pogos, histoire de profiter à fond de la brutalité de la musique. Ouf... Un peu sonné, mais heureux. Je me balade sur le fest pour essayer de retrouver les autres, puis je retourne sur le Main Stage pour voir Slayer. A la base, je n'ai jamais accroché à ce groupe, pourtant cultissime entre tous sur la scène métal. ça donnait bien, avec un son un peu trop fort tout de même (merci les bouchons d'oreille fournis sur le metal market...), donc vu pour la culture, sans s'étendre dessus.
Petit tour du côté de Cannibal Corpse, juste pour voir si c'est comme dans les clips. Bah oui. On rigole un bon coup et on retourne sur le main stage, en attendant KoRn. Le groupe très attendu qui avaient annulé une grande partie de leur tournée européenne l'année dernière pour problème de santé du chanteur (j'avais d'ailleurs une place pour Bercy), et qui était donc attendu au tournant cette année. D'autant qu'ils prévoyaient un show avec des musiciens supplémentaires pour faire les versions albums, et Joey Jordisson (batteur de Slipknot, un de mes meilleurs du monde) derrière les fûts...
"Ceci est un message de la team Hellfest. Pour des raisons indépendantes de notre volonté, Korn a décidé de ne pas jouer ce soir, et a quitté le site il y a trois heures. Merci de votre compréhension."
Sifflets, quolibets, cris de rage... On apprend plus tard qu'ils avaient peur de se faire électrocuter, à cause du générateur défectueux, des intempéries... Alors que des groupes jouaient depuis six heures sur cette même scène... Bref, c'est une foule rageuse qui rentre au camping vendredi soir, et ovoit très vite fleurir des tags insultant le groupe sur le chemin du fest...
Retour donc, toujours humide, mais toujours dans une bonne ambiance. Le camping est devenu, grâce à la pluie, un véritable champ de boue où on s'enfonce de plusieurs centimètres et où on manque de laisser ses chaussures à chaque pas. Cela occasionne d'ailleurs de jolies glissades.


Samedi 23 Juin

Il ne pleut plus, ou presque. La boue est toujours là...
Déjeuner sur les réserves ramenées la veille de Nantes. On part sur le fest pour 15h et le groupe Vader, polonais pionniers du death metal, avec plus de 20 ans de carrière. Intéressant, sans plus.
On enchaîne avec Korpiklaani, que je voulais absolument voir aussi. Pas déçu, c'est du concentré de bonne humeur, avec des chansons entraînantes, entre le troll metal et le folk metal, comme ne savent faire que les scandinaves. La dernière chanson, laissée au choix du public, est bien évidemment Beer Beer ! On continue avec Epica, avec une chanteuse gothic metal très jolie appuyée par un guitariste plutôt death, bon combo, pour un set... épique, avec notamment l'excellente Cry for the Moon.



La matinée sans pluie commence à laisser sécher le sol, déjà moins spongieux.
C'est l'heure de faire une pause, retour aux tentes, pour un dodo qui va finalement s'étendre sur deux heures, nous faisant louper notamment Amon Amarth. Je connaissais pas donc pas très grave.
La ma Cassage de croute et retour sur le fest pour Napalm Death, un peu trop brutal pour moi. On enchaîne sur Children of Bodom, que je voulais absolument voir... Premiers morceaux que je ne connaissais pas, puis on arrive sur Leaving Dead Belt, absolument immanquable, donc retour dans les pogos... Are You Dead Yet ? montre la puissance des finlandais bien énergiques. Mais le vrai show, c'est Immortal qui vient l'assurer, avec un peu de pyrotechnie et de retard, mais un très bon set, un concert vraiment unique étant donné la dimension mythique du groupe, fondateur du Black metal, reformé l'année dernière après avoir splité en 2003.
Un petit tour du côté de Therion, assez sympa, pour finir avec un autre groupe mythique, Type O Negative, qui nous sert un show assez énorme. Le chanteur, véritable montagne, carbure au vin, balance son pupitre, pour un gothic/doom metal atmosphérique et magique. Le groupe dépasse un peu sur l'horaire et nous souhaite bonne nuit sur un Black N°1 d'anthologie, repris en coeur par un public envouté depuis le début et la balade Love You to Death. Mes potes, sous champis, sont bien partis dans leur délire, et moi (pourtant resté sur la bière) aussi. Du coup, gros délire dans la tente jusqu'à 4h du matin, avec des instant mémorables... Bref ^^'


Dimanche 24 Juin

Miracle, la boue a presque séché !
Commence même à faire sacrément chaud... Plus rien à manger ni à boire, on part vers le MacDo du coin pour un repas bien équilibré, et aussi profiter de WC propres. Repas et repos au soleil, dans l'herbe, un vrai parfum de vacance. Mini-sieste et on retourne sur le fest pour Dark Tranquility, Death melodique, bien sympa aussi. Ensuite, un petit tour du côté d'Aborted, par curiosité, mais encore une fois, trop bourrin pour moi. On enchaîne sur Kreator, encore un groupe mythique, pionnier du Thrash Metal, qui me surprend agréablement, moi qui ne connaissais pas du tout. Le chanteur aime faire réagir le public et ça se sent... "We are all Enemy of God !" et Pleasure to Kill mettent le feu au pit.
Je reste sur le Main stage et me faufile pour essayer de trouver une place devant pour le groupe suivant, Within Temptation, qui, un peu comme Epica, nous donne du Metal Gothic/Symphonic avec une voix féminine du plus bel effet, quoiqu'un peu enrhumée... C'est pas grave, la chanteuse en veux et se donne à fond, même malade. Et le public réagit en conséquence, l'ambiance est vraiment bonne. Très bon set, avec pas mal de chansons du dernier album (que je connais, merci Elyra), et plein de bons souvenirs avec.


Quitte à rater Edguy, je reste sur le Main Stage pour avoir une place devant pour le groupe suivant... Et je parviens en effet aux barrières, à moins de deux mètres de la scène. C'est en effet un groupe phare qui arrive, un groupe que je ne voulais rater pour rien au monde, j'ai nommé Megadeth. Mustaine nous fait son show, commence par quelques chansons du dernier United Abominations, met le feu avec Washington is Next, et porte la folie à son comble avec un set de folie : She Wolf, A tout le Monde,Never Walk Alone, Symphony of Destruction, Peace Sells, s'enchaînent, ne laissant aucun repos tandis que le ciel se remplis de slammeurs. Mustaine se retire, laissant le public curieusement sur sa faim, attendant un coup de grâce qui viendra avec l'inévitable et mythique Holy Wars. Je réussi, presque par miracle, à récupérer un médiator "Megadeth World Tour 2006-2007" signé de la main de Mustaine. Bonheur ! Manque tout de même à l'appel Trust, hélas.
L'excitation, la frénésie même, retombe, et je me rend compte de plusieurs choses.
Primo, je suis trempé, par la chaleur et la proximité, mais aussi la pluie qui s'est remis à tomber.
Secundo, il y a du vent, et couplé avec le primo, je me les gèle.
Tertio, j'ai un mal de crâne carabiné, et je ne sais pas où sont les autres.
Pour couronner le tout, le MacDo est loin  (il est 22h30...) et j'ai donc faim.
Dream Theater arrive et fait un set sympathique, très technique évidemment, mais mon mal de crâne m'empêche de vraiment apprécier.
Direction le snack d'a côté pour acheter un cornet de chichis. C'est sucré, c'est chaud, c'est bon, c'est parfait. Sauf que ça m'enlève pas mon mal de crâne, et que ça ne me sèche pas pour autant.
Neurosis sort son doom et ses images hypnotiques, j'écoute de loin mais la pluie redouble d'intensité. Ne retrouvant personne, et ne connaissant pas le dernier groupe (Emperor) et n'ayant pas envie de me rendre malade, je rentre. Le temps de boire un petit coup de vodka pour calmer le mal de crâne, Quentin arrive, revenant de Nantes, ayant raccompagné Pierre après Megadeth. On discute de la journée, puis on se couche.



Lundi 25 Juin

Levé général vers 10h et pliage de tente sous la pluie et le vent, qui traîne des tentes et des tapis de sol abandonnés. Passage au Leclerc pour faire le plein d'essence et de sandwich, et nous voilà repartis sur la route, dans un état semi-comateux, ressassant les souvenirs du week-end. Retour à Paris, prendre une douche après 4 jours de sueur et de boue, c'est dingue ce que ça peut faire du bien...




Voila, mon "petit" week-end, commencé Jeudi et fini Lundi, entièrement consacré au Hellfest 2007, qui malgré quelques frustrations (Korn...) restera dans ma mémoire comme un moment génial, malgré la boue, malgré la pluie, avec des groupes mythiques et des shows inoubliables. Merci à Quentin de nous avoir amené là-bas, d'ailleurs.

Un petit récapitulatif des groupes que j'ai vu (vraiment vu au moins 15 minute, par écouté de loin 5 minutes), dans l'ordre chronologique.

Vendredi
Lyzanxia
Imply In All
Chimaira
Machine Head
Slayer

Samedi
Vader
Korpiklaani
Epica
Napalm Death
Children of Bodom
Immortal
Therion
Type O Negative

Dimanche
Dark Tranquility
Kreator
Within Temptation
Megadeth
Dream Theater









Dimanche 10 juin 2007 à 21:46

Bon, ça commence à devenir triste, cette histoire. Pas d'article depuis... Avril. Hou ! Et encore, pour quelques pauvres vers sans réel intérêt, laissé au hasard d'une illusion d'inspiration.

Ce soir, point de réflexion sur des sujets aussi divers et variés que j'ai l'habitude d'aborder, à savoir la nature humaine, ni de prose sur une sensation ou instant qui sorte de l'ordinaire, ou qui soit particulièrement fort, à défaut d'être extraordinaire. Et puis, c'est quoi cette manie de faire des phrases à rallonge quand j'écris sur ce blog, bon sang ?

Hum.
Non, je n'ai pas grand chose d'intéressant à dire. Monologue avec mon clavier, comme c'est intéressant, hoho... Mais ce pauvre petit blog, tout triste dans son coin, abandonné depuis deux mois, il me faisait de la peine, quand même. Oui oui, comme quoi mon coeur n'est pas entièrement de pierre... Il est aussi de plumes, dorées sans doute, comprenne qui pourra. Haha.

Je suis en veine ce soir, n'est ce pas ? Pour parler pendant dix minutes sans raconter la moindre petite chose, on dirait que je suis bon... La langue de bois, qu'on appelle ça. Et non pas la gueule de bois, oui je t'ai entendu petit coquin, toi qui rit au fond de la salle. Ou de mon crane, peut-être. Je devrais faire de la politique, histoire de mettre mon talent d'orateur à l'épreuve. Je devrais rapidement gagner des points d'expérience en esquive de projectiles divers...

Bon, après cette "intro", parlons de choses sérieuses. Soyons fou, parlons du grand méchant loup, ce damné coquin qui nous attends invariablement (du moins, depuis quelques années) au détour de l'été, clôturant joyeusement un printemps détraqué, entre canicule et giboulée, héhé. J'ai nommé, les examens ! Bac pour beaucoup, simple formalité quand on prend un peu de recul, diplôme de pacotille donné à la plupart pour monter artificiellement les statistiques de réussite...
Pour d'autres, dont moi, ce sont les partiels qui s'annoncent, ultime coup dans le dos après nous avoir endormi durant le second semestre après avoir relâché l'extrême pression du premier. Encore que j'ai une sacré chance, je n'ai pas besoin de compter sur ces résultats-là pour avoir mon année, celle-ci étant déjà dans la poche, sauf... sauf rien, en fait. Huhu.

Dire que dans une semaine, non, quatre jours, l'année est finie. Invariablement, les mêmes commentaires : "holala, c'est passé trooooop viiite"... Excellente mise en bouche, en tout cas, pour les quatre autres années qui vont normalement suivre, avec à chaque fois moins de cours, et des programmes plus intéressants. Comme quoi, le travail paye (pourquoi cette phrase me fait rire ?). Rhô que je suis vil, j'étale au grand jour ma réussite insolente, alors que j'observe, sourire mauvais au coin des lèvres, la masse grouillante des pleutres se vautrant dans leur crasse ignorance. Ho oui je suis vil, j'aime ça.

Mais ne nous égarons pas du chemin, que dis-je, de l'autoroute de ma logorrhée inintéressante sur ma petite vie tout aussi insignifiante. Dernier week-end, donc, avant le grand plongeon dans une insouciance monumentale pendant trois mois, à vivre au jour le jour, et surtout, à profiter. Des tas de gens à voir... Ha, le plaisir incroyable de se réveiller le matin et de n'avoir absolument aucune obligation. Rien à faire. Plaisir décuplé quand ledit réveil se fait en charmante compagnie, et je pense à une compagnie bien particulière, d'ailleurs, qui se reconnaitra puisqu'elle s'est réveillée avec moi ce matin. Matin à priori sous de bons auspices mais qui n'a en fait débouché que sur une après-midi de dimanche tout à fait sans intérêt et riche en prise de tête informatique et solitaire, ainsi qu'en pseudo-révision de cours.
Soirée qui s'annonce un peu plus riche car certainement remplie par la relecture du 6e tome de la Compagnie Noire. Les fidèles lecteurs se remémoreront de précédentes mentions, sur ce même blog, de cette magnifique série qui reste encore à ce jour la meilleure saga fantastique, du moins dans ma maigre culture littéraire. Le tout sur fond musical, bien sûr, avec le dernier né de sieur Manson, nommé Eat Me, Drink Me.

Album qui, encore une fois, soulève le tollé dans la masse des fans du Révérend, car axé nettement plus rock et moins violent que ses prédécesseurs. Ce qui ne m'empêche pas de l'écouter en boucle depuis quatre jours, redécouvrant à chaque écoute le travail d'introspection du chanteur. Point ici de diatribe violente contre le système, les médias ou le star business qui constituaient le fond de commerce de l'homme pendant la majorité de sa carrière longue de maintenant de plus de dix ans. Non, il s'agit ici d'une introspection, comme je l'ai dit précédemment. Peut-être Manson nous fait-il sa crise de la quarantaine, toujours est-il qu'il se livre sans concession sur le plus dangereux et le plus beau des sentiments, j'ai cité l'amour. On oublie toutes les fioritures théâtrales et grand-guignolesques du très bien nommé Golden Age of Grotesque, pour se plonger véritablement dans l'âme, certes torturée,mais finalement pas si folle, d'un homme qui est devenu en quelques années l'icône de la rebellion adolescente et gothique. Pour tout dire, on oublie tout de cette réussite, sur laquelle Golden Age jouait à outrance, pour revenir au dépouillement total et à la sincérité.

Alors oui, ça déplait profondément à certains, mais moi ça me plait, donc je l'écoute et le réécoute, du coup ça me plait de plus en plus, et comme je mémorise au fur et à mesure mélodies et paroles, je vis plus intensément chaque écoute.

J'ai déjà dit que j'étais en vacances dans quatre jours ? Oui, mais bon, c'est tellement proche que je ne peux y cesser d'y penser, sauf le temps peut-être d'une nuit d'amour ou d'une éloge musicale.

Hum. Diable, je me suis une fois de plus laissé emporter. Je pourrais encore écrire pendant des pages pour ne rien dire, mais comme j'ai une fois de plus pitié de quelque chose -votre patience, en l'occurrence-, je vais m'arrêter là. Pour combien de temps, je ne sais pas. Cependant, m'est avis que cet été, tout comme le dernier, se montrera plus riche en expériences et inspiration que l'année survolée...

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